1975 – J’enseignais depuis 5 ans dans un établissement dit classique, dans des classes de 30 élèves. Je me sentais inutile, je ne pouvais aider les laissés pour compte. Ma vocation était ailleurs.

La pédagogie participative, la démarche dynamique, la motivation qu’insuffle le cours Montaigne correspondaient à l’idée que je me faisais de l’école idéale.

Une école à taille humaine, un cadre stimulant et bienveillant, 12 élèves par classe, des projets innovants, le regard positif que les enseignants portent sur les élèves, c’est ce que je recherchais.

Ma place était là.

Professeur, puis directrice, je n’ai cessé de répéter à chaque jeune : je crois en toi, en tes capacités, notre confiance mutuelle te fera réussir.

Chaque jeune a un talent qu’il nous convient de déceler, de révéler pour rendre possible son épanouissement.

Développer ce potentiel demande un effort à l’adolescent, un effort qu’il convient de toujours valoriser pour lui donner du sens.

Une tentative avortée n’est pas un échec, c’est une expérience dont il sort plus fort. Chaque réussite est une pierre à l’édifice, chaque réussite réamorce une spirale positive.

Je ne peux cacher mon émotion, ma joie, et ma fierté un peu aussi, quand un ancien élève, parfois un groupe d’anciens élèves, vient nous raconter son parcours, nous parler de sa vie professionnelle.

2017 – Le cœur pincé, je passe la main mais je sais que l’ADN du Cours Montaigne est inscrit de façon indélébile dans l’esprit de toute l’équipe.

Par Monique Raedecker

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